Joli feu dans tes cheveux.
Crame tes yeux et plante tes oeufs. J'mange ton pain et vomis ton vin. J'éclate des yeux et brûle ta queue.
Je tuerais la femme synthétique et crierait qu'on m'écoute. 4 gouttes sur ta joue, ravales ton eau, ça m'intéresse pas tes faux sentiments, faux sentiments.Un petit saut vers l'infini, on rit, puis on pli et on cri, encore et puis encore et puis on est tous un peu gris par la ville le bruit, le bruit, toujours le bruit, qui grésille et résonne, pique les tympans et nous rend fous, à tourner en rond et à crier des noms un peu partout éparpiller les mots au milieu des nuages. J'dessine ton visage et les vieux creux sous tes p'tits yeux, sommeil sommeil vient caresser mes rêves. Casser tes pieds, le quotidien en miette, habitudes étouffantes, changeons. Dépendances ridiculement crevantes, je sue de me sentir prisonnière. Tendresse, et laissez donc une pièce. Crève de jouir, et vis d'aller mourir. Arrêtons les mensonges, maintenant l'on frappe. Réalité dans ta gueule, beuh mouillée et doigts éclatés. Trop habituel, et blabla. Crâne fendu, et tralala.
Un peu trop froid. - Ne changeons pas.
--------------------------Attente, attente, attente, attente, attente, attente, arrêtons-là.